Chaque année, 180 000 Français sont victimes d’un traumatisme crânien. Les séquelles qui en résultent restent méconnues, y compris de la part de personnes appelées à les apprécier. C’est le cas des membres des Cotorep, commissions techniques d’orientation et de reclassement professionnel. C’est à leur intention qu’une journée était organisée jeudi à l’Ecole nationale de santé publique à Rennes.
article paru dans Ouest-France (Ille-et-Vilaine), 14 avril 1992
Texte et photo : Tugdual Ruellan